Dernier ajout : 22 juin 2016.
Les déficiences visuelles parce qu’il n’existe pas de déficience type. Il y a des définitions "légales" qui conditionnent l’attribution d’aides. Mais ces définitions ne permettent pas de rendre compte de la complexité des situations.
A pathologie équivalente, la gravité des handicaps consécutifs à cette déficience varie d’une personne à une autre car la personnalité toute entière joue un rôle important.
La vision est d’abord un acte cérébral. Nous « voyons » plus avec notre cerveau en fonction de nos capacités à utiliser notre potentiel visuel exploitable. Ce potentiel peut également varier chez une personne en fonction de la luminosité, de la fatigue ou du contraste.